Tradition

Maçonnerie et Kabbale au temps du romantisme

Dès le XVIIIe siècle, les Frères adeptes d’une conception initiatique et ésotérique de la franc-maçonnerie interprétèrent certains symboles maçonniques à la lumière de la kabbale… ou du moins de ce que beaucoup de ces bons chrétiens imaginaient être la kabbale ! Quelques décennies plus tard, dans les premières années du règne de Louis-Philippe (1830-1840), un authentique kabbaliste fit le tour des Loges parisiennes pour y expliquer la science divine des enfants d’Israël et y proposer de grandes et fascinantes planches maçonnico-kabbalistiques.

 

David Rosenberg naît hongrois et juif à Tokay en 1793. Son dossier de police le présente comme « un ancien rabbin allemand, fort savant en hébreu ». Avant de s’établir en France, il a probablement séjourné quelques temps à Londres. Fut-il initié dans une Loge anglaise ? On l’ignore mais c’est tout à fait possible. A partir de 1830, on trouve traces de ses visites à diverses Loges parisiennes comme Le Phénix du vieux Germain Hacquet. Sa situation matérielle est difficile et, pour arrondir ses fins de mois, il propose aux Frères et aux Loges un « tablï

La lecture des articles est réservée aux abonnés
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous
Vous n’êtes pas abonné ? Abonnez-vous
Abonnez-vous et suivez toute l’actualité du magazine
Je m’abonne
Achetercet article
1,00 €

Retrouver cet article

Retrouvez également cet article sur notre magazine n° Magazine n°36

Agenda

Du 23 novembre 2024 - 09:00
au 24 novembre 2024 - 18:00

8e salon maçonnique de Toulouse

Du 23 novembre 2024 - 09:00
au 24 novembre 2024 - 18:00

Salon du livre maçonnique de Limoges

Newsletter

Tenez-vous au courant de nos dernières nouvelles!