Venons-en donc à l’Afrique d’aujourd’hui. Cinquante ans après les indépendances, les africains sont encore au stade d’exiger le droit de penser, de juger et d’agir librement sur le devant de la scène nationale. De leur côté, les gouvernants dénient aux citoyens le droit de choisir leurs leaders politiques.
Ainsi l’Afrique construit des sociétés sans citoyens. Tout le monde broute là où il est attaché en guise de survie. Les richesses nationales sont confisquées au profit du groupe oligarchique. La vie est devenue plus que fragile.
Et pourtant dans les institutions, les francs-maçons sont légions. La franc-maçonnerie tardant à devenir l’un des éléments moteurs de la République, le climat d’indignation s’installe dans la cité dès lors que les valeurs acquises dans le Temple ne sont pas transmises au dehors de celui-ci.
A l’heure actuelle les homme