L’été est la meilleure saison pour voyager et découvrir la France maçonnique : visiter des loges, s’initier à de nouveaux rituels, s’enrichir d’échanges et de fraternité, mais aussi révéler sa véritable nature d’épicurien.
La tenue avait été longue, la planche soporifique, les débats éreintants. Bref, une de ces réunions entre frères où l’égrégore n’avait pas daigné faire une apparition. En plus, il faisait chaud, l’été surchauffait la toiture sous laquelle se tenaient, impassibles, mais au bord de l’asphyxie mentale et physique, quarante frères, gantés de blanc, costumés de noir et cravatés de près. Il était temps de passer aux agapes au risque de voir la loge succomber à un évanouissement collectif.
Juste avant d’abattre le maillet pour clôturer les t