Les uns et les autres se réunissent dans des temples, défendent la liberté de conscience et pensent que le travail est une vertu. Pour le reste, francs-maçons et protestants ne partagent pas grand-chose sur le fond et sont même en opposition sur la forme de leurs « pratiques » comme sur le fond de leurs « croyances ». Pourtant, nombreux sont ceux, dans leurs sphères respectives qui persistent à confondre leurs alliances de circonstance face au catholicisme avec une convergence de sens. Histoire d’un malentendu utile à la République.
Francs-maçons et protestants, une relation ambiguë utile à la République
Publié le 21 Mai 2014
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