En juin 2019, des événements retiennent l’attention et l’intérêt : deux rencontres internationales bisannuelles. Les unes se tiendront à Bordeaux avec pour thème : « 1735-1785 : Un demi-siècle fécond de part et d’autre de l’Atlantique. Bordeaux et le Nouveau Monde… une histoire partagée », les autres à Paris avec « Des rites pour construire la fraternité ». Comment ces manifestations s’emploient-elles à « rassembler ce qui est épars » ? En quoi donnent-elles « le moyen de nouer une amitié sincère entre des personnes qui n’auraient pu que rester perpétuellement étrangères », comme l’a spécifié un certain James Anderson dans ses constitutions ?
Ces rencontres internationales rassemblant d’éminents spécialistes reconnus de par le monde entier de la recherche ne sont pas très anciennes puisqu’elles ont été initiées en 2015. C’était à Paris, à la Bibliothèque nationale de France (BnF) sous l’impulsion de Paul Rich, président de la fondation académique américaine, la Policy Studies Organization (PSO), de Washington. Il faisait partie du comité scientifique de l’exposition « La Franc-maçonnerie » qui s’est tenue du 12 avril au 24 juillet 2016 à la BnF dont le catalogue a dû être réédit