Ce vaste sujet, s’il en est, a suscité à des degrés divers quelques approches : un colloque organisé par le Grand Orient de France en 1981, « Le sport, facteur de progrès » ; un numéro d’Humanisme, « Sport, phénomène de société » ; un article de Pierre-Yves Beaurepaire, « Franc-maçonnerie et sport. Une approche historique » dans le Dictionnaire culturel du sport de Michaël Attali et Jean Saint-Martin en 2010 avec une brève bibliographie qui privilégie archers et golfeurs... Faudrait-il se tourner vers les STAPS ?
Ces Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives sont une filière de l’université française, offrant une formation homogène de tous les métiers touchant au sport avec des équipes de recherche dans 62 laboratoires dédiés aux sciences humaines et sociales. C’est ainsi que Francis Charpier a soutenu une thèse de doctorat à l’université Claude Bernard de Lyon, « Aux origines de la médecine du sport en France » : L’auteur fait des francs-maçons l’un des groupes qui ont contribué à institutionnaliser la médecine du sport. La thèse pré