Société

La franc-maçonnerie sous la plume des écrivains « profanes »

La franc-maçonnerie a été moins utilisée comme thème de réflexion que comme prétexte à intrigue par de nombreux écrivains non maçons. De manière caricaturale le plus souvent, mais aussi parfois avec admiration. Nous avons laissé de côté la littérature strictement antimaçonnique qui brille par ses rébarbatifs poncifs.

Le père d’Honoré de Balzac (1799-1850) appartenait à la loge La Parfaite Union à l’orient de Tours. C’est sous les traits de Michel Chrestien, personnage récurent de La Comédie humaine que transparait l’image du franc-maçon républicain idéaliste dans Les illusions Perdues. Inspiré de Benjamin Buchez personnage bien réel, Michel Chrestien est membre du « Cénacle » : « Ces neuf personnes composaient un Cénacle où l’estime et l’amitié faisaient régner la paix entre les idées et les doctrines les plus opposées [...] »

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