Dès le début du XXe siècle, le Grand Orient s’intéresse de plus en plus aux questions sociales…
Au convent de 1900, l’une des questions sociales porte sur le point suivant : « Création d’une caisse de retraite pour la vieillesse et les invalides du travail ». Elle a été longuement traitée et, d’ailleurs dans son discours le frère Bédarride, rapporteur de la commission des études politiques et sociales, la met dans les premières à débattre parmi, dit-il, « 105 solutions réformistes » qui constitueraient « un excellent programme de réformes pratiques dont la réalisation rendrait de réels services ». Il présente un « vœu tendant à la créati