La franc-maçonnerie sous Napoléon Bonaparte : l’instrument du pouvoir politique

 

Le coup d’état du 18 brumaire (9 novembre 1799), orchestré par Napoléon Bonaparte, sonne le glas de la révolution française et ouvre une ère nouvelle pour la maçonnerie. Favorable à l’institution, qu’il rend docile et dont il favorise l’essor, Napoléon Bonaparte s’en servira pour étendre son influence et asseoir sa politique au sein des 130 départements qui vont composer l’empire.

 

Le renouveau

Au sortir de la période trouble de la révolution française (1789-1795), les loges maçonniques sont décimées. Beaucoup de maçons ont été dépassés par les évènements qui ont suivi la prise des Tuileries, l’exécution de Louis XVI, et la formation de la première assemblée constituante (la Convention 1792-1795). 

Le 17 janvier 1793, la moitié seulement des conventionnels maçons votera la mort du roi. La maçonnerie dans son ensemble admire la monarchie constitutionnelle comme elle fonctionne depuis un siècle au Royaume-Uni.

Par ailleurs,

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