La mort est présente dès le début du parcours maçonnique, et accompagne les sœurs et les frères ensuite, s’ils persévèrent dans cette voie. C’est à une autre mort que nous nous attachons ici, la mort physique, suivie des obsèques, souvent sur fond de polémiques.
Ces polémiques font que la mort des francs-maçons n’est pas une affaire privée, car ils entendent sortir du cadre étroit et rigide imposé par l’Église catholique depuis des siècles, qui contrôle et gère la mort et les obsèques. Ils entendent mourir en hommes libres, et refusent sur leur lit de mort de renier leur engagement maçonnique, même s’ils sont croyants et qu’on les menace de l’enfer. Il leur a fallu bien du courage, et ils ont dû aussi lutter — parfois ? Souvent ? — contre leurs familles.
Un clergé intransigeant
Les exemples abondent, et