Il est parfois difficile d’être un franc-maçon sans attirer le soupçon du complot. Jean Acacio va en faire l’expérience.
Jean Acacio aime bien passer la soirée avec son ami Louis Branzas. Son accent savoureux du Sud, son goût délicat pour la bonne chère et surtout son don subtil pour la conversation en font un compagnon d’agape recherché. Environ tous les cinq ans, au terme de recherches érudites, Branzas publie un livre qui fait date et autorité dans le monde, souvent nébuleux, de l’ésotérisme. Cette fois, il publie un livre consacré à l’architecture maçonnique. Un vaste sujet susceptible d’intéresser de nombreux lecteurs. D’ailleurs, Branzas doit participer à un