L’automne est une saison souvent délicate pour certains hauts dignitaires maçonniques qui doivent descendre de leur charge. Un passage de main qui n’est pas toujours fraternel surtout quand ils ont été parfois vertement désavoués par leur obédience. Et la reconversion est difficile pour certains.
Le parvis du Temple est un des endroits les plus essentiels de la convivialité maçonnique. On y aide son voisin maladroit à enlever son cordon, son frère qui a pris un peu d’embonpoint à régler la ceinture de son tablier ou alors on y échange des adresses de loge et autres numéros de portables avec les frères visiteurs. Qu’on y attende l’accès au Temple ou que l’on sorte de tenue, c’est aussi l’occasion d’échanges discrets et de conciliabules à voix basse pour régler des affaires maçonniques ou profanes.
« Dis moi, Jean, tu fais bien partie